Découverte 7

Devant sa porte, elle trouva une boîte, elle resta un moment à se demander qui avait pu laisser un paquet devant sa porte. Elle rentra la boite sous le bras et se laissa choir sur son canapé. Fébrilement elle ouvrit et laissa échapper un cri de stupeur.

Là sous ses yeux elle avait une robe de soie beige, et un ensemble de lingerie, ainsi qu'une paire d'escarpin de la même couleurs de la robe. Au fond de la boîte, il y avait une carte.

« Ne mettez rien d'autre que ceci , ce soir et ne me désobéissez pas car vous prendriez des risques à me défier ! 

R.M »

Hélia avait l’impression de ne plus pouvoir respirer. Ce goujat pensait-il qu'il avait tous les droits ? Non mais comment pouvait il imposer ces volontés il était son patron certes mais là , elle enrageait de ne pas être une de femme forte car elle savait au fond qu'elle allait faire ce que ce type exigeait et ne pouvait lutter contre cela.

Elle pris une profonde respiration et se dirigea jusqu'à sa chambre où elle y déposa la boîte et lentement elle sorti tout ce qui s'y trouvait et étala sur son lit tout ce qui se trouvait à l’intérieur.

Après de longues minutes elle alla dans sa salle de bains, se déshabilla sans hâte et se glissa sous la douche. Elle avait besoin de se détendre , car elle se sentait sale et elle voulait ôter se sentit d'impuissance qu'elle avait l'impression de sentir sur tout son corps.

Elle y resta longtemps, plus longtemps qu'en temps normal … puis elle s'épongea et s'en retourna dans sa chambre.

Tel une automate elle s'habilla, se coiffa et se maquilla.

Plusieurs fois elle jeta un regard affolé à la pendule qui semblait la narguer. A 19h30 précise l'interphone résonna dans tout son être. Elle se dirigea vers la porte , retint son souffle et ouvrit. Il était là devant elle dans un smoking impeccable et encore plus impressionnant que d'habitude.

-Bien, je savais que vous vous cachiez sous ces horribles vêtements. Je devrai vous interdire de les porter a nouveau mais ce n'est pas à l'ordre du jour. Allons- y !

Elle le suivit sans dire un mot, elle essayait d’analyser ce qu'elle venait d'entendre.

Un quart d'heure plus tard ils se trouvaient dans un somptueux restaurant. Le serveur leur indiqua leur table, elle se trouvaient dans un coin à l’abri des regards. Lorsqu' Hélia voulut s’asseoir une main puissant la retint.

-Oh non ne croyait pas que vous aller pouvoir m'échapper, je vous veux à mes côtés.

Ils s’installèrent silencieusement. Hélia était crispé, c'est alors qu'une main vint se poser sur sa cuisse.

-Détendez-vous je ne vais pas vous manger, enfin pas tout de suite... dit-il dans un murmure.

Elle n'eut le temps de dire mot car le serveur revenait à leur table, et elle ne fut pas surprise de Rafael commander pour à sa place sans lui demander son avis. Mais ce qui l'étonnait par contre c'est qu'il sache exactement ce qu'elle aimait, car il lui commanda les mets qu'elle apprécié. Le serveur se retira et soudain la tension monta encore d'un cran lorsqu'elle sentit le souffle de son patron dans son cou non loin de son oreille.

-Hélia, détendez-vous, comme je vous l'ai dis je ne vais pas vous manger. Vous mordre peut-être …

Il avait laissé en suspend la fin de sa phrase et un frisson parcouru l'échine d' Hélia. Quand soudainement elle sentit la bouche de son patron lui mordiller l'épaule. Elle poussa un grognement venu du tréfonds de son être. Son corps réagissait à la présence animale de cet homme qui lui mettait les nerfs à vifs. Lorsque Rafael glissa la main qui avait pris possession de sa cuisse un peu plus tôt plus haut encore elle sentit ses joues se teinter de rouges, elle avait de plus en plus chaud.

Elle hoqueta quand il la glissa entre ses cuisses, elle avaient beau essayer de les garder serrer l'une contre l'autre cette mains poursuivait malgré ses efforts vers le cœurs de son intimité. Le souffle court les yeux dans le vague elle restait immobile, pendant que dans sa tête ses pensées s'affrontaient.

-Vous ne dites rien … Mais votre corps lui est très loquace, vous ne comprenez pas ce qui vous arrive n'est-ce pas ?

-... Non … je ne sais pas ce que vous me voulez ? Je ne suis pas le genre de femme avec qui vous sortez.

• ...{rire} … Que savez-vous des femmes que je fréquente … rien … et vous seriez surprise ma douce.

Cette fois Hélia vit arriver le serveur avec gratitude, elle put se concentrer sur le repas qui venait de leur être servi. Rafael avait ôter sa main, elle crut qu'elle allait être tranquille pour le dîner, mais elle n'eut pas le temps de terminer sa bouché qu'il revenait déjà à l'assaut. Mais cette fois ci l'attaque fut plus franche comme si de rien été il remontait sa robe jusqu'en haut et vint placé cette main terriblement audacieuse sur sa petite culotte déjà humide malgré elle. Elle avait le souffle de plus en plus court.

• Vous allez allé au toilette ma cher et ôtez moi cette obstacle avant que je vous l'arrache ici même. Je ne veux rien entre mes doigts et votre petite chatte si appétissante. Je sens l'odeur de votre excitation et je bande rien qu'à l'envie d'y poser ma bouche. Je me rends compte que j'ai eu tords de vous acheter l'ensemble .

• Mais … je …

• Ne discuter pas … Pour une fois lâchez -vous .

Elle ferma les yeux un instant puis mut par une volonté soudaine elle se leva et se dirigea vers les toilettes pour dame. Lorsqu’elle se retrouva devant son reflet , elle ne se reconnaissait pas, elle avait les yeux brillant, les joues rosies par le désir. Alors elle fit ce qu'elle ne se croyait pas capable elle ôta son slip et s'en retourna vers la table où il l'attendait tel un prédateur prêt à bondir sur sa proie. Et là la proie c'était elle.

Comments

[Eric]

Cela donne des idees....