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Toutes les nuances d'Ashtarte
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18 mars 2019

Chambre 69

Une nouvelle rubrique fait aujourd'hui son apparition dans le sanctuaire, c'est la votre :

Vos fatasmes mis en scéne sous ma plume. Dites moi ce que vous en pensez et si vous avez envie de devenir vous aussi le héros de l'histoire...

       

serie2 hiver 2010 842

 

Le théme d'aujourd'hui

Répondre positivement à une invitation d’une internaute libertine qui veut « me faire une surprise » et voir ce qui se passe.

 

 Cela faisait quelques semaines que nous échangions virtuellement, la tension montait crescendo au fur et à mesure de notre correspondance. Je ne connaissais rien d'elle si ce n'est ce que j'avais découvert au cours de nos différents échanges.

Au cours de nos mails nous avions instauré un climat de plus en plus sensuel voir par moment érotique. J'attendais ces missives avec de plus en plus d'impatience ne sachant à quoi m'attendre.

Quand un beau jour elle m'envoya une étrange proposition.

 

« Mon cher,

Que diriez-vous de nous rencontrer, vous et moi pour un après midi coquin ?

Je sais que nous nous connaissons pas vraiment mais je pense que nous avons besoin vous et moi d'assouvir ces envies qui nous gagne à chacun de nos mots ne croyez-vous pas ?

Bien à vous ! »

 

A la lecture de son message laissant une traînée de poudre dans tout mon corps je suis resté un moment figé devant mon écran. Avais-je envie de rencontrer cette femme qui pourtant ne me laisser indifférent ?

J'ai mis un certain temps avant de lui répondre j'étais à la fois tenté et d'un autre côté je m'étais installé dans ces instants de félicité et je ne savais pas si j'avais envie de casser cette bulle que j'appréciais retrouver lors de mes journées harassante.

Et puis je me suis dis que l'on avait qu'une vie et que je ne pouvais passer à côté de cette rencontre.

Je lui répondis donc par l'affirmative, tout en ayant cette petite appréhension d'avoir était trop long à répondre. J'avais tout de même mis plus d'une semaine à répondre.

Elle m'envoya son numéro de téléphone et elle m'indiquait en plus qu'elle me contacterait dés que je lui aurai donné mes disponibilités. Je pris donc mes dispositions, je ne voulais plus réfléchir, je voulais vivre cette rencontre à fond.

 

Quelques jours plus tard elle m'envoyait une adresse, en furetant sur le net je découvrais que c'était un hôtel dans un petit quartier tranquille.

 

Plus le jour J approchais, plus l'excitation me gagnais. Nous avions poursuivi notre correspondance et elle savait faire monter la pression, elle me faisait bander à chacune de ses lettres virtuelles. Je ne savais pas ce qu'il m'attendait car elle voulait que se soit surprenant pour moi. Elle savait que j'avais déjà un vécu avec ce genre de rencontre.

 

Le jour J elle m'envoya un message très court.

 

« Chambre 69 »

 

A la seule lecture du numéro de la chambre je fut pris de frissons d'anticipation.

J'entrai dans le petit hôtel de charme, très calme à cette heure ci de l'après midi. A la réception la jeune dame m'indiqua comment me rendre à l'étage de la chambre, je ne remarquai même pas la beauté de la dame en question ce qui m'étonnais car j'aimais être à l'affut de tout ce qui touchait à la gente féminine. Or là mon esprit était entièrement tournée vers celle qui m'était à la fois inconnu physiquement mais connu virtuellement qui m'attendait dans cette chambre au nombre évocateur.

Au fur et à mesure que j'approchais de « ma libertine » je me posais tout un tas de question.

Allait elle m'accueillr nue ? Est-ce qu'elle me plairai physiquement ? N'allais-je pas être déçu ?

Je balayais mon questionnement irraisonné et poussais la porte qui était entrouverte. Et là je me trouvais devant l'un de mes fantasmes qu'elle m'offrait.

Elle était devant moi vêtu d'une nuisette qui laissé entrevoir ses formes généreuses.

J'entrais dans la chambre refermant la porte doucement, nous étions enfin dans le même espace, une bulle offert par cette femme qui finalement en connaissait beaucoup sur moi.

 

Sans qu'elle ait besoin de prononcer quelconque parole, je compris qu'elle m'offrait le spectacle dont j'avais besoin pour me libérer et me détendre totalement.

Elle avait placer un fauteuil en face du lit, pour que j'ai une vue plongeante sur le spectacle qu'elle m'offrait.

Elle ne bougeait pas, attendant que je m'installe avant de débuter. Nous ne prononcions aucune parole, étrangement nous n'en avions pas besoin.

Je m'assis donc et tout commença.

 

Elle débuta un ballet sensuel ses mains glissant sur la soie de sa nuisette. Ses siens que je percevais au travers du léger tissus étaient tendu et je les imaginais tout durs. Elle se massait les seins tout en glissant au fil de ses caresses vers ses cuisses légèrement ouverte. Je ne pouvais quitter ses mains du regard, comme si j'étais hypnotiser, attirer par cette étrange danse qu'elle m'offrait.

C'est alors qu'elle se laissa tomber sur le lit et libéra ma vue. Lentement elle écartait les cuisses et m'offrai un accès direct à son sexe toujours couvert. Je pouvais sentir l'odeur suave de sa cyprine que devinais abondant. Elle était autant excité que je l'étais. C'est alors qu'elle glissa la main dessous le voile de son slip elle se caressait sous mes yeux.

Mon souffle court, et une bosse de plus en plus dur dans mon pantalon. Je devais faire un effort pour ne pas la rejoindre, seulement je voulais la voir jouir une première fois, elle savait comment m'attirer dans les profondeurs de la provocation.

Je voyais ses doigts se mouvoir lentement au début puis la pression s'accentua et s'accelera, je perçu ce qu'elle m'avais expliquer lors d'un de nos échanges.

Je ne tenais plus en place, j'avais besoin de me rapprocher de ma libertine. Je voulais voir de plus prés. Je voulais pouvoir sentir et observer l'instant où l'orgasme terrasserai ma grivoise.

Je me débarrassai de mes vêtements car j'étais trop engoncé dans tout ce tissus. J'avais besoin d'être nu pour la suite que je devinais dans son regard.

Sa respiration devint plus saccadé pour enfin se libérer. Elle venait de m'offrir son premier orgasme de l'après-midi et j'en étais flatté. Cette femme que je ne connaissais que par écran interposé venait de m'offrir ce qu'aucune de mes maîtresses, aventure d'une nuit ne m'avait jamais donné jusque là !

 

Lorsqu'elle eut repris sont souffle et ses esprits elle me sourit en m'invitant d'un regard de braise à la rejoindre sur se lit ou elle venait de se donner du plaisir. Elle se redressa afin de me laisser la regarder plus attentivement. Je m'assayais prés d'elle et posa mes mains enfin sur ses courbes qui m'envoutaient déjà. Je pris le bas de sa nuisette et la fit remonter lentement afin de dévoiler enfin son corps à mon regard avide. Ses seins étaient un régal à regarder et j'avais qu'une hâte c'était d'enfin poser ma bouche sur eux. Mais je voulais tout d'abord goûter sa bouche, j'approchais donc mes lèvres des siennes et on s'offrit un baiser torride.

Nos mains purent prendre possession de nos corps respectifs, la douceur de sa peau me rendait fou. Je délaissais sa bouche pour enfin gouter ses seins, ils étaient tendu à l'extreme et les pointes toutes dures. Je les mordais tendrement, les pinçaient et ma coquine appréciait au vu des ses gémissements que j'entendais à chacune de mes pressions.

J'aimais la façon dont son corps réagissait au miens. Mais elle n'était pas en reste je sentais ses mains parcourir ma peau et ses caresses attisaient l'envie de plus que je ressentais. Je voulais goûter chaque centimètre de son corps, mais je voulais qu'elle me touche aussi. Cependant j'avais envie d'être le premier à festoyer, alors délaissant sa poitrine je me dirigeais plus au sud de son anatomie. Sa chatte était toute mouillée de son excitation. Je plongeais ma tête entre ses cuisses et la respirais quelques minutes avant de déposer des baisers, je voulais la faire languir.

Elle gémissait de frustration chaque fois que je m'éloignais de son bourgeon incandescent. Je mis fin à son supplice qui était aussi devenu le miens et ma bouche se posa sur cette chatte toute lisse et brûlante. Son goût sucré me rendit fou je me mis à la lécher et mordiller son bouton si réactif. J'en voulais plus je voulais lui faire perdre la tête avant de mon même me perdre en elle. Alors je glissais un doigts , puis un autre avant de relever la tête pour pouvoir observer ses réaction et savoir combien de mes doigts elle pouvait accueillir en elle avant de crier grâce. J'en glissais trois pendant que mon pouce continuer à la torturer. Je la regardais onduler sur le lit, elle tenait les barreaux du lit ce qui tendait ses merveilleux seins. Poursuivant la torture que je prodiguais à sa chatte je me redressais pour prendre l'un de ses seins dans ma bouche. J'avais compris très vite qu'elle réagissait divinement à chacune de mes caresses. Elle était proche de son deuxième orgasme, les contractions autour de mes doigts enfoncés dans sa chatte m'indiquait qu'elle allait jouir. Elle explosa une seconde fois, j'embrassais sa bouche pour qu'elle se goûte au travers de mon baiser.

Nous sommes resté un moment a juste nous caresser pour qu'elle puisse reprendre un rythme un peu plus léger. J'étais toujours tendu mais je me doutais qu'elle me réservait encore bien d'autres surprises.

Quand ma libertine fut apaiser ce fut elle qui se mit en devoir de me torturer.

Elle se mit à parcourir chaque centimètre de peau de mon torse, elle prit un malin plaisir à mordiller mes tétons, laissant une traîner de feu le long de ma colonne vertébrale. Lentement elle approcha de ma queue qui s'agitait d'anticipation. Lorsqu'enfin sa bouche se posa sur mon gland je me retins difficilement. Je ne voulais pas que cela se finisse alors qu'elle n'avait pas encore englouti ma queue.

Mon membre enserré par sa main et coulissant dans cette bouche gourmande était tout simplement délicieux. Je la laissais faire un moment mais ce que je voulais par dessus tout c'est me glisser en elle.

Avec difficulté je me retirai de sa bouche et j'attirai ma coquine prés de moi, dans un éclair de lucidité avant de perdre la tête j'avais déposer une poignet de préservatif sur la table de chevet. Je tendis donc la main vers la protection la lui tendit pour qu'elle me l'enfile. Une fois cette opération faites je me glissais enfin en elle. Elle était brûlante et toute glissante, je plongeais en elle avec bonheur. Ses mains parcourais mon dos et de temps à autre je sentais ses ongles me griffais et j'adorais la légère brûlure que cela me procurait. J'allais et venais entre ses reins et j'étais au paradis, je savais que je ne tiendrais pas longtemps, je glissais donc une de mes mains entre nos deux corps transpirant pour titiller avec application son bourgeon pour que nous explosions tous deux aux mêmes moments. Après un dernier coup de reins nous jouissions en choeurs.

Je m'effondrais sur elle épuisé mais heureux. Nous n'avions échangé aucun mots nous n'en avions pas besoin. Alors que j'étais toujours sur elle, elle m'appaisait de ses caresses.

Je ne savais pas si nous aurions une autre occasion de nous revoir alors je profitais de toutes ses sensations que j'éprouvais en cette instant.

 

Fin.

 

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Commentaires
J
quelle histoire d'amour charnel magnifique, l'extase, le paradis.
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F
Votre petit récit me satisfait pleinement et même va au-delà de ce que j'imaginais...
Répondre
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